LE DEBAT ENTRE
REPRODUCTIBILITE OU NON
REPRODUCTIBILITE
D’UNE MESURE A L’AIDE D’UN
INSTRUMENT
Pour un énergéticien, les éléments de ce débat sont
clairs. Ils doivent reposer sur :
- Le fait que le Qi ou l’énergie, générée dans les plans vibratoires du vivant, lui confère un caractère photonique, donc une nature lumineuse. Par conséquent, la physique qui gouverne l’énergie est de nature Ondulatoire et répond à la physique Quantique.
- Le fait que l’Analyse et le Traitement d’un patient dans une vision énergétique ne peuvent prétendre être Globaux qu’en mesurant les deux aspects Corpusculaire et Ondulatoire à la fois, et non de façon séparée (Corps et Esprit unifiés).
- Le fait que seule la prise en compte de la Conscience permet l’unification de tous les principes de vie, donc donne accès au principe Global.
- Le thérapeute ne peut donc être qu’au Centre du champ d’expérimentation qui relie le patient et l’instrument de mesure. Le thérapeute ne peut donc pas être écarté de la mesure, ni de son instrument, ni de son patient.
- Dans un processus de guérison, il se passe également quelque chose qui est de nature vibratoire mais qui a été permis par la présence de l’instrument, conjoint à la présence physique du thérapeute et du patient.
Par conséquent, la position du praticien qui cherche à obtenir une
« mesure neutre » sans impact du thérapeute, s’ampute des 2/3 des
informations les plus fondamentales de l’histoire de la maladie du patient.
Les lamas Tibétains disent que nous ne pouvons soigner (guérir) une personne que si nous avons une relation karmique avec elle ! vaste débat qui doit nous faire réfléchir.
Les lamas Tibétains disent que nous ne pouvons soigner (guérir) une personne que si nous avons une relation karmique avec elle ! vaste débat qui doit nous faire réfléchir.
Le type d’instrumentation qui écarterait l’observation
attentive du praticien sur son patient pendant la mesure est donc à écarter.
Le fait de chercher la reproductibilité systématique
d’une mesure avec des résultats identiques à des temps différents, voire même
par des praticiens ou observateurs différents, est une aberration pour un
énergéticien. Ce type de mesure et d’instrumentation ne relève que d’une physique corpusculaire
très limitative de tous les aspects subtils d’un être.
Physique
Classique, Physique Quantique
Deux visions du monde doivent cohabiter désormais si nous
désirons prendre en compte l’énergie de la Conscience, donc l’énergie de
l’Esprit intégrée dans un Corps de Matière vivante qui observe :
- Une vision matérielle basée sur la notion de corpuscule obéissant aux lois régissant le monde des objets macroscopiques, donc des mesures reproductibles.
- Une vision spirituelle basée sur le principe ondulatoire du monde de l’infiniment petit, donc des objets de l’esprit, ne répondant qu’à un principe d’indétermination où règne l’aléatoire, l’incertitude et donc la non reproductibilité des mesures.
La particule ou le point d'acupuncture ne sont plus un point matériel classique
localisable mais un paquet d'ondes probabilistes non localisables, une
superposition de mouvements potentiels qui définissent de multiples
possibilités, celles de la Vie en mouvement et en évolution perpétuelle.
Caractéristiques
et Propriétés d’une mesure
Il faut considérer 2 types de caractéristiques :
*
Physique : Le fait de mesurer une résistance ou une fréquence fixe sur un point ou un
méridien se limite à l’aspect physique d’un organe, d’un tissu ou d’une
fonction. Cette mesure ne prend en compte que ce qui se passe dans le corps
physique dense, et cette mesure si elle est fixe,
constante et reproductible serait le fait d’un corps qui n’évoluerait pas.
*
Ondulatoire : Une mesure est
également dotée de caractéristiques ondulatoires sous forme d’informations immatérielles provenant
de la synthèse de tous les systèmes de
communication et des mémoires résultant des expériences de vie du patient
dans ces systèmes. Cette partie est en évolution permanente.
Pour ouvrir le champ à une interprétation des
informations émotionnelles et mentales du patient, il faut accéder à une mesure
dite de résistivité ,qui n’est
possible que par une technologie qui prend en compte les alternances vibratoires des énergies en mouvement dans un système
relationnel de biofeedback. Ce système accepte les positions aléatoires des
photons ou des électrons qui composent l’information vivante de l’esprit du
patient, même des années après un événement.
Nous avons tous les mêmes organes, nous sommes tous créés
à l’image du même modèle corporel, mais les mémoires émotionnelles, mentales et
spirituelles vécues par nos organes, notre Moi et notre corps font de nous des
êtres uniques vibrant de façon changeante à chaque instant de nos vies.
Le moment présent ne peut pas avoir un caractère fixe.
Le moment présent ne peut pas avoir un caractère fixe.
C’est en m’adressant aux
thérapeutes qui exercent leur art avec une vision énergétique du corps et de
l’esprit, que j'ai depuis longtemps fait le choix volontaire des
appareils de mesure dont la technologie accepte la non reproductibilité des mesures.
Cette non reproductibilité est interprétable grâce à un
logiciel Phôs ® spécifiquement développé pour permettre à l’énergéticien de
prendre en compte dans la mesure, l’aspect Quantique ondulatoire de la maladie
de son patient à un instant donné.
Les
clés
La
mesure est réalisée à un instant T, dans lequel la totalité de l’information d’une fonction du patient va dépendre de
ce que le patient vient offrir au thérapeute pour qu’il puisse le guérir.
Le patient dans ce qu’il est en corps, en âme et en esprit va donc livrer, ou non, les clés au thérapeute, qui peut alors les lire, ou non, savoir les utiliser, ou non, à ce moment précis. Avant, ce n’est pas l’heure, car c’est une autre mesure, après, c’est trop tard car c’est encore une autre mesure. Telle est la variabilité de notre nature humaine.
Le patient dans ce qu’il est en corps, en âme et en esprit va donc livrer, ou non, les clés au thérapeute, qui peut alors les lire, ou non, savoir les utiliser, ou non, à ce moment précis. Avant, ce n’est pas l’heure, car c’est une autre mesure, après, c’est trop tard car c’est encore une autre mesure. Telle est la variabilité de notre nature humaine.
N’oublions
jamais
C’est le patient qui est mesuré et non le thérapeute.
C’est le patient qui est lu et interprété et non le
thérapeute.
L’état d’esprit du patient change les mesures au moment
où elles sont prises.
L’état d’esprit du thérapeute ne change pas les mesures
du patient. Nos corps et nos esprits possèdent fort heureusement par nature un
caractère de séparabilité.
Les mesures prises par le thérapeute n’interfèrent donc
pas sur les mesures du patient, sinon celui-ci serait amélioré ou guéri
instantanément avant même d’avoir fait quoi que ce soit, et nous n’aurions pas
besoin alors d’instrument.
Prise
des mesures avec un outil qui corrige les erreurs du débutant
La sonde de l’appareil Omégalux possède l’avantage de
sa très grande sensibilité. Elle permet de gérer le résultat diagnostic avec la
même précision, quelle que soit l’allure de la courbe. Un débutant qui n’aura
pas encore affiné le geste parfait de la prise de mesure verra ses défauts sur
une courbe en général très accentuée en déviations. Le résultat final par le
calcul diagnostic prendra en compte les écarts
par rapport à des mesures sur ou sous dimensionnées. Le tableau de
diagnostic affichera les mêmes structures indiquant les mêmes causes de la
maladie.
ANNEXES
1.
La théorie des
champs Morphiques
Elle est proposée par un
éminent biologiste Rupert Sheldrake dans
les année 1980 sous le concept de la « Causalité formative ».
Ni la physique, ni la chimie ne
sont capables d’expliquer la Vie, dit-il .
Il propose alors une nouvelle
biologie, qui naît de la causalité formative et qui repose sur l’étude des
« Champs Morphogénétiques » ayant des effets mesurables.
A cette époque, ses conclusions
sont pratiquement superposables aux effets mesurés par les radioniciens. Voici
quelques-unes de ses conclusions.
-Il y a un « Soi
causal », au delà du visible.
-Dans ce plan, on trouve une
hiérarchie d’actions créatives immanentes à la Nature.
-Ce Soi conscient émane de la même réalité que celle d’une
source Transcendante de l’univers.
-Le champ morphégénétique de
toute chose existe déjà avant
d’apparaître dans la Matière. L’anatomiste Saxton Burr dans les années 1935
était arrivé à la même conclusion en travaillant sur des œufs de salamandre.
Cette étude lui avait permis d’affirmer que les Champs de Vie (L-Fields) des
organismes vivants existent avant leur naissance et persistent après la mort.
Nous devons d’ailleurs noter la similitude entre les Champs de vie (L-Fields)
de Burr et les Champs Morphogénétiques de Shaldrake.
-La Morphogénèse est donc bien
organisée par des Champs. Ces champs semblent
être éternels puisqu'ils précèdent la vie et succèdent à la mort.. Cela
nous renvoie aux Eons éternels de Jean Charon.
-Les Champs Morphogénétiques
sont une réalité, tout comme les champs électromagnétiques ou les champs de
gravitation.
-Le fonctionnement et
l’influence des champs est basé sur la Résonance Morphique, laquelle se fonde
sur la loi de Similitude.
-Le phénomène de Résonance et
de Similitude observé dans l’étude biologique des Champs Morphiques par Ruppert
Scheldracke met en évidence, et c’est une loi générale, que la Résonance n’est
possible qu’entre deux systèmes en vibration.
-Lors d’une Résonance
Morphique, il n’y a aucune dépense ni aucun transfert d’énergie.
-Il se crée une Résonance entre
deux systèmes vibrant de façon semblable.
-La Similitude permet la
résonance (c’est sur cette réalité que se fonde l’homéopathie).
-L’échange ou le transfert
d’énergie, non énergétique signe ce que l’on peut nommer une
« Information », ou un «Champ informatif » .
-le champ dans le domaine
Morphique représente des Formes ou des « idées immatérielles ». Ces
Formes, explique Scheldracke, peuvent être perçues comme essentiellement
mathématiques.
-Les Champ Morphiques ont des
propriétés Géométriques (les 8 directions de l’espace).
-Retenons également que
l’Espace n’est pas un obstacle au transfert d’information de type Champ
Morphique ou Champ de Forme (la radionique l’a bien sûr démontré).
-Les Champs Morphiques
représentent donc une « région d’influence immatérielle » sur le
milieu de laquelle une action s’établit à distance et à travers les objets qui
s’affectent eux-mêmes sans contact matériel.
-Temps et Espace n’atteignent
donc pas la résonance Morphique, car Scheldracke démontre que l’influence
Morphique des systèmes antérieurs est présente partout.
( Ruth Drown a écrit : »Tout ce que vous voulez savoir est présent
là où vous êtes »). Jean Charon aurait sans doute pu dire : les
électrons sont partout et éternels. Ils possèdent l’information que l’on
cherche.
-L’influence Morphique est Cumulative.
Ainsi, plus l’information se
renouvèle, plus elle est forte.
Le Modèle Morpho-Quantique
entre totalement dans le cadre des conclusions de Sheldrake. En effet, comme
nous le verrons, le MMQ (Modèle Morpho-Quantique ®) s’exprime par un pictogramme représentant une figure de
points noirs ou colorés, déterminée par une fonction mathématique.
La pratique de ces modèles pictographiques montre que le MMQ est d’autant plus puissant qu’il est construit de l’addition de plusieurs pictogrammes.
La pratique de ces modèles pictographiques montre que le MMQ est d’autant plus puissant qu’il est construit de l’addition de plusieurs pictogrammes.
Il y a indéniablement un effet
cumulatif.
D’autre part, le pictogramme
peut être transféré n’importe où, à n’importe quelle distance où se trouve
le patient.
L’information du pictogramme
MMQ possède bien des propriétés géométriques.
C’est d’ailleurs l’un des premiers fondements théoriques du Modèle Morpho-Quantique aussi bien que des Champs Morpho-Génétiques.
C’est d’ailleurs l’un des premiers fondements théoriques du Modèle Morpho-Quantique aussi bien que des Champs Morpho-Génétiques.
La puissance de l’information va dépendre de la
similitude du cas traité et de son orientation dans l’espace par rapport à
l’axe du champ magnétique de la Terre.
2. Le
feedback bioélectronique
Le Modèle Morpho-Quantique,
comme toute méthode de soins énergétiques, s’inscrit dans une compréhension
globale de la vie. Il faut donc utiliser un système de diagnostic capable de
traiter par émission de signaux, une demande globale, et de recevoir en retour
une réponse globale[1] de
l’organisme.
Ainsi, l’information simulée,
émise au travers des points cutanés des méridiens et des vaisseaux,
possède-t-elle une double sollicitation
énergétique :
- une tension[2] de
nature électromagnétique de très faible ampérage, et cette tension va agir comme
onde porteuse d’une information pictographique.
-une onde de Forme
Morpho-Quantique à caractère pictographique que l’organisme biologique va
recevoir, analyser, et celui-ci va élaborer une réponse en retour.
Le MMQ permet ainsi
d’objectiver tous les types d’informations pouvant analyser et servir à notre
système énergétique et biologique, sans qu’aucune nuisance ne soit créée pour le
patient.
L’instrumentation
Morpho-Quantique permet de faire un véritable scan énergétique d’origine
morphique sur des fonctions de méridiens déréglées.
Le scan opère chez le patient
des demandes totalement inhabituelles, car le cerveau n’a pas l’habitude de
revoir et d’analyser des pictogrammes lumineux.
Recevant en effet des signaux
sous forme de pictogrammes, le patient répond instantanément par une correction
de la mesure.
Qu’est ce qui induit cette
réponse rétroactive chez le patient ?
Sans doute l’organisation
fractale où l’information à base de signaux est en résonance et en déplacement.
Cependant, sur le plan
biologique, c’est la partie inconsciente qui répond au travers de tout le réseau
nerveux sympathique et parasympathique.
Le point de jonction où se
rencontrent les informations « Aller » et les informations
« Retour » du biofeedback, est représenté par les glandes
Parathyroïdes.
L’équivalent dans le plan de
l’anatomie subtile de cette glande porte le nom de chakra occipital ou centre
Alta-Mayor.
Ces deux fonctions
distributrices des informations biofeedback sont entrecroisées et disséminées
dans tout le corps et leur porte d’entrée énergétique débouche sur les
fonctions du Maître du Cœur (Parasympathique) et du Trois Réchauffeur
(Sympathique), un monde immense à l’intérieur du corps.
Le système du feedback, c’est
donc la rétroaction ou réponse biologique à un signal.
Cela évoque un retour dans le
passé, c’est-a-dire une action qui agit en retour sur le phénomène qui se
trouve à sa source.
La rétroaction implique un
système global psychophysiologique.
Donc, toute l’instrumentation
qui permet la pratique Morpho-Quantique utilisant des signaux codés sous forme
de pictogrammes Morphiques, qui sont transmis au travers de la sonde de mesure
pendant le scan Morpho-Quantique, opère dans un champ global du corps et de
l’esprit.
L’instrument et le thérapeute
ne font qu’un, et les mesures enregistrées tiennent comptent à la fois de
l’aspect corpusculaire de la matière-énergie et de son aspect ondulatoire
immatériel dite Quantique.
C’est la réponse dite de
« Rétroaction psychophysiologique de l’organisme » ou
« Biofeedback », qui est de nature ondulatoire qui fait de cette
technique un système sensible au captage d’informations de nature Quantique.
On peut schématiser dans le
Modèle du concept Morpho-Quantique, l’unité biofeedback totale du corps par le
schéma suivant :
Les glandes Parathyroïdes, expression physique du
Chakra occipital
sont le moyeu central de toute l’activité
énergétique et de toutes les
fonctions du corps du physique, de l’émotionnel ,
du mental et du spirituel
VB : Vésicule Biliaire
Es :
Estomac
Fo :
Foie
GI :
Gros Intestin
Spl :
Spleen (chakra de la Rate) ou chakra Splénique
Po :
Poumon
Ba :
Basal (chakra de la Base)
RT : Rein (Traditionnel) le Rein chinois
Sa :
Sacral (chakra Sacré)
MC : Maître du Cœur ou Péricarde
RP :
Rate-Pancréas
Co : Cœur
Cor : Coronal (chakra de la Couronne)
IG :
Intestin Grêle
Fro :
Frontal (chakra Frontal) ou Ajna chakra
Ve :
Vessie
Lar :
Laryngé (chakra de la Gorge) ou chakra Laryngé
TR :
Triple Réchauffeur
AM : Alta Major ou chakra Occipital
[1] Globale voulant
dire « qui comprend ou contient toutes les informations mémorisées
contenues à l’intérieur de la cellule » et ces informations peuvent
concerner tous les plans d’existence conscients et inconscients du sujet.
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