vendredi 6 juin 2014

La Mesure de nature Quantique




LE DEBAT ENTRE
REPRODUCTIBILITE OU NON REPRODUCTIBILITE
D’UNE MESURE A L’AIDE D’UN INSTRUMENT

Pour un énergéticien, les éléments de ce débat sont clairs. Ils doivent reposer sur :

  •  Le fait que le Qi ou l’énergie, générée dans les plans vibratoires du vivant,  lui confère un caractère photonique, donc une nature lumineuse. Par conséquent, la physique qui gouverne l’énergie est de nature Ondulatoire et répond à la physique Quantique.

  •  Le fait que l’Analyse et le Traitement d’un patient dans une vision énergétique ne peuvent prétendre être Globaux qu’en mesurant les deux aspects Corpusculaire et Ondulatoire à la fois, et non de façon séparée (Corps et Esprit unifiés).
  • Le fait que seule la prise en compte de la Conscience permet l’unification de tous les principes de vie, donc donne accès au principe Global.
  • Le thérapeute ne peut donc être qu’au Centre du champ d’expérimentation qui relie le patient et l’instrument de mesure. Le thérapeute ne peut donc pas être écarté de la mesure, ni de son instrument, ni de son patient.

  • Dans un processus de guérison, il se passe également quelque chose qui est de nature vibratoire mais qui a été permis par la présence de l’instrument, conjoint à la présence physique du thérapeute et du patient.
Par conséquent, la position du praticien qui cherche à obtenir une « mesure neutre » sans impact du thérapeute, s’ampute des 2/3 des informations les plus fondamentales de l’histoire de la maladie du patient. 

Les lamas Tibétains disent que nous ne pouvons soigner (guérir) une personne que si nous avons une relation karmique avec elle ! vaste débat qui doit nous faire réfléchir.

Le type d’instrumentation qui écarterait l’observation attentive du praticien sur son patient pendant la mesure est donc à écarter.
Le fait de chercher la reproductibilité systématique d’une mesure avec des résultats identiques à des temps différents, voire même par des praticiens ou observateurs différents, est une aberration pour un énergéticien. Ce type de mesure et d’instrumentation  ne relève que d’une physique corpusculaire très limitative de tous les aspects subtils d’un être.

Physique Classique, Physique Quantique

Deux visions du monde doivent cohabiter désormais si nous désirons prendre en compte l’énergie de la Conscience, donc l’énergie de l’Esprit intégrée dans un Corps de Matière vivante qui observe :
  • Une vision matérielle basée sur la notion de corpuscule obéissant aux lois régissant le monde des objets macroscopiques, donc des mesures reproductibles.
  • Une vision spirituelle basée sur le principe ondulatoire du monde de l’infiniment petit, donc des objets de l’esprit, ne répondant qu’à un principe d’indétermination où règne l’aléatoire, l’incertitude et donc la non reproductibilité des mesures.
La particule ou le point d'acupuncture ne sont plus un point matériel classique localisable mais un paquet d'ondes probabilistes non localisables, une superposition de mouvements potentiels qui définissent de multiples possibilités, celles de la Vie en mouvement et en évolution perpétuelle.

Caractéristiques et Propriétés d’une mesure

Il faut considérer 2 types de caractéristiques :
*      Physique : Le fait de mesurer une résistance ou une fréquence fixe sur un point ou un méridien se limite à l’aspect physique d’un organe, d’un tissu ou d’une fonction. Cette mesure ne prend en compte que ce qui se passe dans le corps physique dense, et cette mesure si elle est fixe, constante et reproductible serait le fait d’un corps qui n’évoluerait pas.
*      Ondulatoire : Une mesure est également dotée de caractéristiques ondulatoires sous forme d’informations immatérielles provenant de la synthèse de tous les systèmes de communication et des mémoires résultant des expériences de vie du patient dans ces systèmes. Cette partie est en évolution permanente.
Pour ouvrir le champ à une interprétation des informations émotionnelles et mentales du patient, il faut accéder à une mesure dite de résistivité ,qui n’est possible que par une technologie qui prend en compte les alternances vibratoires des énergies en mouvement dans un système relationnel de biofeedback. Ce système accepte les positions aléatoires des photons ou des électrons qui composent l’information vivante de l’esprit du patient, même des années après un événement.

Nous avons tous les mêmes organes, nous sommes tous créés à l’image du même modèle corporel, mais les mémoires émotionnelles, mentales et spirituelles vécues par nos organes, notre Moi et notre corps font de nous des êtres uniques vibrant de façon changeante à chaque instant de nos vies. 
Le moment présent ne peut pas avoir un caractère fixe.

C’est en m’adressant aux thérapeutes qui exercent leur art avec une vision énergétique du corps et de l’esprit, que j'ai depuis longtemps fait le choix volontaire des appareils de mesure dont la technologie accepte la non reproductibilité des mesures.
Cette non reproductibilité est interprétable grâce à un logiciel Phôs ® spécifiquement développé pour permettre à l’énergéticien de prendre en compte dans la mesure, l’aspect Quantique ondulatoire de la maladie de son patient à un instant donné.

Les clés

La mesure est réalisée à un instant T, dans lequel la totalité de l’information d’une fonction du patient va dépendre de ce que le patient vient offrir au thérapeute pour qu’il puisse le guérir. 
Le patient dans ce qu’il est en corps, en âme et en esprit va donc  livrer, ou non, les clés au thérapeute, qui peut alors  les lire, ou non, savoir les utiliser, ou nonà ce moment précis. Avant, ce n’est pas l’heure, car c’est une autre mesure, après, c’est trop tard car c’est encore une autre mesure. Telle est la variabilité de notre nature humaine.

N’oublions jamais

C’est le patient qui est mesuré et non le thérapeute.
C’est le patient qui est lu et interprété et non le thérapeute.
L’état d’esprit du patient change les mesures au moment où elles sont prises.
L’état d’esprit du thérapeute ne change pas les mesures du patient. Nos corps et nos esprits possèdent fort heureusement par nature un caractère de séparabilité.
Les mesures prises par le thérapeute n’interfèrent donc pas sur les mesures du patient, sinon celui-ci serait amélioré ou guéri instantanément avant même d’avoir fait quoi que ce soit, et nous n’aurions pas besoin alors d’instrument.

Prise des mesures avec un outil qui corrige les erreurs du débutant
La sonde de l’appareil Omégalux possède l’avantage de sa très grande sensibilité. Elle permet de gérer le résultat diagnostic avec la même précision, quelle que soit l’allure de la courbe. Un débutant qui n’aura pas encore affiné le geste parfait de la prise de mesure verra ses défauts sur une courbe en général très accentuée en déviations. Le résultat final par le calcul diagnostic prendra en compte les écarts  par rapport à des mesures sur ou sous dimensionnées. Le tableau de diagnostic affichera les mêmes structures indiquant les mêmes causes de la maladie.

 
ANNEXES


1.      La théorie des champs Morphiques
Elle est proposée par un éminent biologiste Rupert Sheldrake dans les année 1980 sous le concept de la « Causalité formative ».
Ni la physique, ni la chimie ne sont capables d’expliquer la Vie, dit-il .
Il propose alors une nouvelle biologie, qui naît de la causalité formative et qui repose sur l’étude des « Champs Morphogénétiques » ayant des effets mesurables.
A cette époque, ses conclusions sont pratiquement superposables aux effets mesurés par les radioniciens. Voici quelques-unes de ses conclusions.
-Il y a un « Soi causal », au delà du visible.
-Dans ce plan, on trouve une hiérarchie d’actions créatives immanentes à la Nature.
-Ce Soi conscient émane de la même réalité que celle d’une source Transcendante de l’univers.
-Le champ morphégénétique de toute chose existe déjà avant d’apparaître dans la Matière. L’anatomiste Saxton Burr dans les années 1935 était arrivé à la même conclusion en travaillant sur des œufs de salamandre. Cette étude lui avait permis d’affirmer que les Champs de Vie (L-Fields) des organismes vivants existent avant leur naissance et persistent après la mort. Nous devons d’ailleurs noter la similitude entre les Champs de vie (L-Fields) de Burr et les Champs Morphogénétiques de Shaldrake.
-La Morphogénèse est donc bien organisée par des Champs. Ces champs semblent  être éternels puisqu'ils précèdent la vie et succèdent à la mort.. Cela nous renvoie aux Eons éternels de Jean Charon.
-Les Champs Morphogénétiques sont une réalité, tout comme les champs électromagnétiques ou les champs de gravitation.
-Le fonctionnement et l’influence des champs est basé sur la Résonance Morphique, laquelle se fonde sur la loi de Similitude.
-Le phénomène de Résonance et de Similitude observé dans l’étude biologique des Champs Morphiques par Ruppert Scheldracke met en évidence, et c’est une loi générale, que la Résonance n’est possible qu’entre deux systèmes en vibration.
-Lors d’une Résonance Morphique, il n’y a aucune dépense ni aucun transfert d’énergie.
-Il se crée une Résonance entre deux systèmes vibrant de façon semblable.
-La Similitude permet la résonance (c’est sur cette réalité que se fonde l’homéopathie).
-L’échange ou le transfert d’énergie, non énergétique signe ce que l’on peut nommer une « Information », ou un «Champ informatif » .
-le champ dans le domaine Morphique représente des Formes ou des « idées immatérielles ». Ces Formes, explique Scheldracke, peuvent être perçues comme essentiellement mathématiques.
-Les Champ Morphiques ont des propriétés Géométriques (les 8 directions de l’espace).
-Retenons également que l’Espace n’est pas un obstacle au transfert d’information de type Champ Morphique ou Champ de Forme (la radionique l’a bien sûr démontré).
-Les Champs Morphiques représentent donc une « région d’influence immatérielle » sur le milieu de laquelle une action s’établit à distance et à travers les objets qui s’affectent eux-mêmes sans contact matériel.
-Temps et Espace n’atteignent donc pas la résonance Morphique, car Scheldracke démontre que l’influence Morphique des systèmes antérieurs est présente partout.
( Ruth Drown a écrit : »Tout ce que vous voulez savoir est présent là où vous êtes »). Jean Charon aurait sans doute pu dire : les électrons sont partout et éternels. Ils possèdent l’information que l’on cherche.
-L’influence Morphique est Cumulative.
Ainsi, plus l’information se renouvèle, plus elle est forte.
Le Modèle Morpho-Quantique entre totalement dans le cadre des conclusions de Sheldrake. En effet, comme nous le verrons, le MMQ (Modèle Morpho-Quantique ®) s’exprime par un pictogramme représentant une figure de points noirs ou colorés, déterminée par une fonction mathématique. 
La pratique de ces modèles pictographiques montre que le MMQ est d’autant plus puissant qu’il est construit de l’addition de plusieurs pictogrammes.
Il y a indéniablement un effet cumulatif.
D’autre part, le pictogramme peut être transféré n’importe où, à n’importe quelle distance où se trouve le patient.
L’information du pictogramme MMQ  possède bien des propriétés géométriques. 
C’est d’ailleurs l’un des premiers fondements théoriques du Modèle Morpho-Quantique aussi bien que des Champs Morpho-Génétiques.
La puissance de l’information va dépendre de la similitude du cas traité et de son orientation dans l’espace par rapport à l’axe du champ magnétique de la Terre.

2. Le feedback bioélectronique

Le Modèle Morpho-Quantique, comme toute méthode de soins énergétiques, s’inscrit dans une compréhension globale de la vie. Il faut donc utiliser un système de diagnostic capable de traiter par émission de signaux, une demande globale, et de recevoir en retour une réponse globale[1] de l’organisme.
Ainsi, l’information simulée, émise au travers des points cutanés des méridiens et des vaisseaux, possède-t-elle  une double sollicitation énergétique :
- une tension[2] de nature électromagnétique de très faible ampérage, et cette tension va agir comme onde porteuse d’une information pictographique.
-une onde de Forme Morpho-Quantique à caractère pictographique que l’organisme biologique va recevoir, analyser, et celui-ci va élaborer une réponse en retour.
Le MMQ permet ainsi d’objectiver tous les types d’informations pouvant analyser et servir à notre système énergétique et biologique, sans qu’aucune nuisance ne soit créée pour le patient.
L’instrumentation Morpho-Quantique permet de faire un véritable scan énergétique d’origine morphique sur des fonctions de méridiens déréglées.
Le scan opère chez le patient des demandes totalement inhabituelles, car le cerveau n’a pas l’habitude de revoir et d’analyser des pictogrammes lumineux.
Recevant en effet des signaux sous forme de pictogrammes, le patient répond instantanément par une correction de la mesure.
Qu’est ce qui induit cette réponse rétroactive chez le patient ? 
Sans doute l’organisation fractale où l’information à base de signaux est en résonance et en déplacement.
Cependant, sur le plan biologique, c’est la partie inconsciente qui répond au travers de tout le réseau nerveux sympathique et parasympathique.
Le point de jonction où se rencontrent les informations « Aller » et les informations « Retour » du biofeedback, est représenté par les glandes Parathyroïdes.
L’équivalent dans le plan de l’anatomie subtile de cette glande porte le nom de chakra occipital ou centre Alta-Mayor.

Ces deux fonctions distributrices des informations biofeedback sont entrecroisées et disséminées dans tout le corps et leur porte d’entrée énergétique débouche sur les fonctions du Maître du Cœur (Parasympathique) et du Trois Réchauffeur (Sympathique), un monde immense à l’intérieur du corps.
Le système du feedback, c’est donc la  rétroaction ou réponse biologique à un signal.
Cela évoque un retour dans le passé, c’est-a-dire une action qui agit en retour sur le phénomène qui se trouve à sa source.
La rétroaction implique un système global psychophysiologique.
Donc, toute l’instrumentation qui permet la pratique Morpho-Quantique utilisant des signaux codés sous forme de pictogrammes Morphiques, qui sont transmis au travers de la sonde de mesure pendant le scan Morpho-Quantique, opère dans un champ global du corps et de l’esprit. 
L’instrument et le thérapeute ne font qu’un, et les mesures enregistrées tiennent comptent à la fois de l’aspect corpusculaire de la matière-énergie et de son aspect ondulatoire immatériel dite Quantique.
C’est la réponse dite de « Rétroaction psychophysiologique de l’organisme » ou « Biofeedback », qui est de nature ondulatoire qui fait de cette technique un système sensible au captage d’informations de nature Quantique.

On peut schématiser dans le Modèle du concept Morpho-Quantique, l’unité biofeedback totale du corps par le schéma suivant :


  
Les glandes Parathyroïdes, expression physique du Chakra occipital
sont le moyeu central de toute l’activité énergétique et de toutes les
fonctions du corps du physique, de l’émotionnel , du mental et du spirituel

VB : Vésicule Biliaire
Es   :  Estomac
Fo   :  Foie
GI   :  Gros Intestin
Spl  :  Spleen (chakra de la Rate) ou chakra Splénique
Po   :  Poumon
Ba   :  Basal (chakra de la Base)
RT   : Rein (Traditionnel) le Rein chinois
Sa    :  Sacral (chakra Sacré)
MC  : Maître du Cœur ou Péricarde
RP  :  Rate-Pancréas
Co  :  Cœur
Cor :  Coronal (chakra de la Couronne)
IG   :  Intestin Grêle
Fro  :  Frontal (chakra Frontal) ou Ajna chakra
Ve   :  Vessie
Lar  :   Laryngé (chakra de la Gorge) ou chakra Laryngé
TR   :  Triple Réchauffeur
AM :   Alta Major ou chakra Occipital


[1]  Globale voulant dire « qui comprend ou contient toutes les informations mémorisées contenues à l’intérieur de la cellule » et ces informations peuvent concerner tous les plans d’existence conscients et inconscients du sujet.
[2]  appelée originellement « Tens » (Transcutaneous Electro Nerval Stimulation)

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