samedi 28 juin 2014

Contenu des Produits disponibles avec l'Eïdoscope

CONTENU DES FAMILLES - CATEGORIES ET SOUS-CATEGORIES 
DE PRODUITS " EÏDOS " DISPONIBLES
EN SE CONNECTANT SUR INTERNET 
POUR UTILISER  l' EÏDOSCOPE

Système-eïdos  © Juin 2014
Yvon Combe

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CM
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10MM
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MATIERE MEDICALE INDIENNE
6-12-30-200
Matière Médicale Indienne

Matière Médicale Ayurvédique
Produits
 Eïdos
MATIERE MEDICALE TIBETAINE
6-12-30-200
Matière Médicale Tibétaine

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ORGANOTHERAPIE






1M
Artères
Articulations
Cerveau
Ganglions
Glandes
Glandes lymphatiques
Muqueuses
Muscles
Nerfs
Nerfs crâniens
Organes
Os
Tissus
Veines
Vertèbres







Produits
Eïdos 

PHARMACOPEE CHINOISE
6-12-30-200
Pharmacopée Chinoise
Pharmacopée Chinoise
Produits
 Eïdos
PLANTES AMAZONIENNES
6-12-30-200
Plantes Amazoniennes
Plantes Amazoniennes
Produits
 Eïdos
PLANTES OCCIDENTALES
6-12-30-200
Herboristerie
Herboristerie
Produits
 Eïdos
MATIERE MEDICALE EIDOS-HOMEO






6-12-30-200









Toutes les Dynamisations
















30 et 200
6

6-12-30
1M

50M
Toutes les Dynamisations
1M
30-200-50M


Toutes les Dynamisations

Complexes du Dr.Battacharya
















Matière Médicale
Eïdos-Homéo















Groupes d’éléments de John Damonte
Fleurs de Bach
Fleurs sauvages Australiennes
Gemmes et Mineraux

Mixtures Narayani






 Nosodes Eïdos-Homéo et similaires







Battacharya Couleurs Mix
Battacharya Eléments Mix
Septenate Mix Homéo
Tridosha Mix
Universal Bach Flow. Mix
Universal Gems Mix
Universal Gener.Tonic Mix
Universal Homéo.Mix
Universal Metal Mix
Universal weakness Mix
Battacharya Zodiac & Planets Mix

Huiles
Laits
Polychrestes Majeurs
(150 principaux Remèdes)
Sels métalliques
du Dr.Michel  Henry
Terres rares
Acides
Araignées
Charbons
Eléments simples de la Table périodique
Matière Médicale Homéopathique
Venins
Vitamines


Fleurs  de Bach
Fleurs sauvages Australiennes
Gemmes
Minéraux
Narayani Balance Remedy
Narayani Mixtures
Narayani Organo Mix
Narayani Soham Mix


Bactéries
Champignons
Poisons
Toxines
Nosodes Eïdos Allemands
Nosodes Eïdos Classiques
Nosodes Eïdos et biothérapiques Eïdos





Produits
Eïdos 





















 Produits
 Eïdos





















NOUVEAUTES
MANTRAS
Indiens Védiques
Matrika-Sons-Alphabet Sanskrit
Tibétains
ELIXIRS MINERAUX
ESSENCES FLORALES
PLANTES DU MONDE 

Ouvrages de références pour la référence des noms latins

-Swami Narayani : Handbook on healing  Soham Foundation Baroda India 1987
                                 Polycope de l’école Altus Yvon Combe 1989 « les remèdes de Swami Narayani » 
                 
-Dr.Bhattacharya : -Mixtures santé éditions Ediru 1986
                                 -La science du Tridosha éditions Ediru 1884
                                 -Tous les ouvrages en Anglais du Dr.Bhattacharya

-John Damonte : Polycope d’école Altus « les éléments simples 1ère partie les Groupes de J.Damonte »

-Remèdes Homéopathiques :  très nombreux ouvrages Français et Anglais
                                                       référence des Noms latins universels

-Nosodes Homéopathiques : ouvrages du Dr. Julian et nombreuses listes internet de Nosodes
                                                    
-Fleurs de Bach : ouvrages Français nombreuses publications sur le sujet

-Fleurs sauvages Australiennes : -Australian Flower Essences de Ian White Bantam Books reprint
                                                             2002

-Pharmacopée Chinoise : -Pharmacopée et médecine chinoise traditionnelle Dr.Guillaume-Mach-
                                                Chieu éditions Desiris 1987
                                               -Pharmacologie en médecine orientale Nguyen Van Nghi édition NVN
                                               -Phytothérapie Chinoise Philippe Sionneau Trédaniel 2001.

-Matière Médicale Indienne : -Indian Matéria Médica A.K Nadkharni  Popular Prakashan Reprint
                                                    2010

-Matière Médicale Tibétaine : -Gso-Ba-Rig-Pa le système médical Tibétain Presses du CNRS 1988
                                                    -La médecine Bouddhique traditionnelle Phou Ngeun Souk-Aloun
                                                     édition Roger Jollois 1995
                                                    -La médecine Tibétaine Bouddhique et sa psychiatrie Terry Clifford
                                                     chez Dervy livres 1986

-Anatomie Subtile : très nombreux ouvrages en Français ( Leadbeater, Powells, Michel Coquet, David
                                     Tansley, Harish Johary,….)

-Eïdothérapie Matière Médicale :  36 éléments fondamentaux qui codifient  les structures subtiles de
                                                              référence  permettant la pratique de l’Eïdopathie anciennement
                                                              M.M.Q (Modèle Morpho-Quantique) Yvon Combe.

-Acupuncture : très nombreux ouvrages Français
                            référence des points de la nomenclature internationale
                            Polycope de référence école Altus 1995 points référencés par Mrs.Macpherson

-Plantes Amazoniennes :  Laboratoire Homéopathique du Sud-Ouest : Formulaire de complexes
                                            homéopathiques Poconéols - éditions Plantes et médecine .

vendredi 6 juin 2014

Etrangeté de la Réalité Quantique



LORSQUE L'EXPERIENCE DES FENTES DE YOUNG (1801) EXPLIQUE
LA REALITE QUANTIQUE DES EÏDOS ET DE L'EÏDOTHERAPIE





On envoie un faisceau de lumière sur un mur percé de deux trous et on observe les effets de croisement des 2 faisceaux de lumière sur un écran. L'interaction entre les deux faisceaux lumineux génère des ondes d'interférences. Cette expérience va clairement démontrer que la Matière ne se comporte pas comme les Ondes qui ne relèvent que de la réalité des particules élémentaires (photons et électrons en tête).
Le monde Quantique obéit à d'autre lois et principes que ceux de la physique classique.
Le phénomène observé peut se comporter tout à la fois comme une particule de matière et (ou) comme une onde immatérielle,
quelque chose d'autre qui n'est ni onde, ni corpuscule,
Tel est le message.

 Si on refait la même expérience avec un lanceur de billes au lieu d'un générateur de lumière, les billes peuvent traverser le mur par l'un ou l'autre des trous et atterrissent dans une boite cloisonnée.
On lance des billes blanches, on observe la disposition et l'emplacement de leur chute à l'arrivée.
On lance des billes noires et on observe de même.


 On ferme une fente et on lance des billes blanches
 On ferme une autre fente et on lance des billes noires
 
 On ouvre les deux fentes
Résultat :


 Les billes qui sont des objets matériels ne peuvent pas se superposer.
Chaque bille blanche ou noire arrive et prend une place non ordonnée.
Il n'y a pas d'échange d'information en cours, ni d'arrangement.
Il n'y a pas d'addition, ni superposition.
Les informations restent séparées.
Si on refait la même expérience avec de l'eau en créant des vagues, on place des bouées en place de l'écran et on regarde la montée et la descente de ces bouées sous l'effet de l'arrivée de la vague.

Qu'observe-t-on ?

Les ondes induites par les vagues s'additionnent pour générer un résultat combinatoire qui sont encore une fois une interférence d'information. On est en présence d'Ondes vibratoires dans l'Eau.

1 seule fente ouverte, puis la deuxième
  La deuxième fente ouverte
 

Les 2 fentes ouvertes en même temps,
Résultat : 



 Revenons à l'expérience originelle utilisant la lumière.


On utilise un canon à électrons pour pouvoir séparer les électrons comme si on envoyait des billes.

 

L'électron isolé ne se comporte pas comme de la matière telle une bille.
Il se comporte comme une onde en créant des interférences.

 

Les électrons captés sur l'écran, semblent au début de l'expérience se positionner comme des billes, donc comme des corpuscules. Mais, à mesure que s'accumulent les impactes d'électrons sur l'écran avec le temps, on voit se former des franges caractéristiques de la nature d'une onde.


Le plus extraordinaire arrive maintenant, lorsque l'on installe un détecteur d'électron pour suivre leurs trajets en sortie des fentes. 
Si l'expérimentateur cherche à savoir par quelle fente chaque électron est passé, on retrouve pour ces électrons un comportement identique à celui des billes.
Donc, en essayant de déterminer par quelle fente passent les électrons, on ne peut plus observer d'interférences.
Les électrons ont alors un comportement particulaire.
Le corollaire de ce phénomène est que si l'expérimentateur observe des interférences lumineuses pendant l'expérience, il lui est impossible de dire par quel trou l'électron est passé.








Est-ce que ce sont des Eïdos ?


C'est toute la démarche de la thérapie Quantique qui prône la prise en compte d'une Anatomie subtile du corps humain qui précède l'Anatomie physique dans le champ d'apparition hiérarchique des informations immatérielles, des Eïdos aux ondes puis aux particules de matières formant les corps matériels.

Qu'est-ce que tout ceci nous inspire ?

 

Si l'on cherche absolument une cause dans une liste d'information, la façon dont on va chercher va déterminer le résultat. 
L'objet d'une recherche fixe déjà une limite, densifie déjà un résultat de nature et de mesure physique, on va rendre ce résultat corpusculaire, le traitement aura un impact physique et matériel uniquement.
Si l'on ne cherche pas quelque chose de déjà précisé ou préconçu dans le mental du thérapeute, les possibilités d'interprétations sont beaucoup plus grandes et vastes, on est dans le domaine vibratoire et le champ Quantique.
L'Aléatoire est alors accepté.


Sans le thérapeute qui prend des mesures sur le patient, il n'y a pas d'échange, pas d'addition d'informations, pas d'interférence, pas de communication. 
La mesure est froide, physique, on est dans la matière physique et de la biologie sans sentiments, séparé de la conscience et du vécu " senti-mental " du patient.
L'appareil qui détecte et enregistre sans l'aide du thérapeute, ne détecte que l'aspect corpusculaire du patient. 
Même s'il s'agit d'ondes électromagnétiques, celles-ci ne révèleront pas les champs émotionnels et mentaux qui sont de nature vibratoire quantique. 
Les appareils de thérapie qui génèrent des ondes électromagnétiques (donc définies uniquement par une longueur d'onde et une fréquence), n'ont qu'une orientation physique dans les analyses et les traitements qu'ils sont capables de faire.

Les appareils qui génèrent des Ondes de Formes et des Eïdos ont une action bien plus vaste et leur impact est beaucoup plus profond et durable dans le temps.


Il ne peut pas y avoir de neutralité lorsque l'on mesure un patient. 
L'interférence du patient avec le thérapeute fait partie intégrante du traitement et donc de la possibilité d'obtenir une action de guérison (qu'on la nomme Confiance, Placébo ou autre) peu importe, il faut profiter de l'échange et de l'interférence qu'opèrent l'un et l'autre dans le champ d'action Quantique. 

La guérison quantique est une interaction, une interférence, 
une onde générée qui opère par intelligence globale de Similitude et de Résonance.


L'appareil Eïdoscope fonctionnant dans le champ vibratoire sonore va interférer avec le champ vibratoire du patient en profondeur et dans la globalité, car le Son est l'antenne de l'élément Ether qui supporte l'Espace.
La possibilité d'action sur champ émotionnel, mental  et l'esprit du patient est le principal atout de ce type d'appareillage.


L'appareil Omégalux du Modèle Morpho-Quantique permet d'accepter en totalité l'aléatoire de la mesure. C'est en cela qu'il permet une action Quantique, dans laquelle le thérapeute a la pleine observation sur le patient en déterminant un résultat en fonction de l'attitude avec laquelle il observe et mesure.


Les mesures faites sur le patient ne sont pas reproductibles à l'infini comme dans le cas d'une expérience physique matérielle. 
Cependant, les courbes obtenues entre deux ou plusieurs séances donnent des courbes énergétiques de même allure géométrique. On reconnait parfaitement le patient, même d'une année sur l'autre.


La Médecine Quantique permet ainsi une liaison Esprit-Corps et Corps-Esprit. 
Les informations immatérielles qu'elle utilise permettent une action synthétique, une prise en compte globale des causes et des effets de la pathologie en respectant la personne et son histoire.


Le thérapeute doit apprendre à regarder son patient sans aucun jugement, en dehors de la limitation duelle si étroite (bien, mal, blanc, noir,...).
Le patient sait et reconnait que ce qui se passe va dans le sens de libérer un blocage ou une situation de déséquilibre, qui va bien au-delà du seul aspect corporel.

Si le thérapeute regarde et cherche dans la réalité physique du patient, il obtient un résultat dans le physique.

Si le thérapeute regarde et cherche dans les plans subtils, il aura un résultat sur les causes émotionnelles et mentales de son patient.

La relation Thérapeute-patient qui s'établit lors de la rencontre est au centre de l'alchimie qui va en résulter, mais le thérapeute doit observer des règles d'éthique, de comportement et de pratique absolument purs,  s'attachant uniquement au premier des principes écrit par le Docteur Samuel Hahnemann dans son Organon de la médecine - 6ème édition 1839  :

L'idéal thérapeutique consiste à rétablir la santé d'une manière rapide,
douce et permanente, à enlever et à détruire la maladie dans son 
intégralité, par la voie la plus courte, la plus sûre et la moins nuisible, 
cela d'après des principes clairs et intelligibles.

 

Références bibliographiques :

Samuel Hahnemann  :
  • Organon de l'art de guérir.

Etienne Klein :
  • Petit voyage dans le monde des Quanta, éditions Champs Flammarion 2004.
  • L'Atome au pied du mur, éditions Le Pommier 2000.
  • Sous l'atome les particules, éditions Dominos Flammarion 1993.

La Mesure de nature Quantique




LE DEBAT ENTRE
REPRODUCTIBILITE OU NON REPRODUCTIBILITE
D’UNE MESURE A L’AIDE D’UN INSTRUMENT

Pour un énergéticien, les éléments de ce débat sont clairs. Ils doivent reposer sur :

  •  Le fait que le Qi ou l’énergie, générée dans les plans vibratoires du vivant,  lui confère un caractère photonique, donc une nature lumineuse. Par conséquent, la physique qui gouverne l’énergie est de nature Ondulatoire et répond à la physique Quantique.

  •  Le fait que l’Analyse et le Traitement d’un patient dans une vision énergétique ne peuvent prétendre être Globaux qu’en mesurant les deux aspects Corpusculaire et Ondulatoire à la fois, et non de façon séparée (Corps et Esprit unifiés).
  • Le fait que seule la prise en compte de la Conscience permet l’unification de tous les principes de vie, donc donne accès au principe Global.
  • Le thérapeute ne peut donc être qu’au Centre du champ d’expérimentation qui relie le patient et l’instrument de mesure. Le thérapeute ne peut donc pas être écarté de la mesure, ni de son instrument, ni de son patient.

  • Dans un processus de guérison, il se passe également quelque chose qui est de nature vibratoire mais qui a été permis par la présence de l’instrument, conjoint à la présence physique du thérapeute et du patient.
Par conséquent, la position du praticien qui cherche à obtenir une « mesure neutre » sans impact du thérapeute, s’ampute des 2/3 des informations les plus fondamentales de l’histoire de la maladie du patient. 

Les lamas Tibétains disent que nous ne pouvons soigner (guérir) une personne que si nous avons une relation karmique avec elle ! vaste débat qui doit nous faire réfléchir.

Le type d’instrumentation qui écarterait l’observation attentive du praticien sur son patient pendant la mesure est donc à écarter.
Le fait de chercher la reproductibilité systématique d’une mesure avec des résultats identiques à des temps différents, voire même par des praticiens ou observateurs différents, est une aberration pour un énergéticien. Ce type de mesure et d’instrumentation  ne relève que d’une physique corpusculaire très limitative de tous les aspects subtils d’un être.

Physique Classique, Physique Quantique

Deux visions du monde doivent cohabiter désormais si nous désirons prendre en compte l’énergie de la Conscience, donc l’énergie de l’Esprit intégrée dans un Corps de Matière vivante qui observe :
  • Une vision matérielle basée sur la notion de corpuscule obéissant aux lois régissant le monde des objets macroscopiques, donc des mesures reproductibles.
  • Une vision spirituelle basée sur le principe ondulatoire du monde de l’infiniment petit, donc des objets de l’esprit, ne répondant qu’à un principe d’indétermination où règne l’aléatoire, l’incertitude et donc la non reproductibilité des mesures.
La particule ou le point d'acupuncture ne sont plus un point matériel classique localisable mais un paquet d'ondes probabilistes non localisables, une superposition de mouvements potentiels qui définissent de multiples possibilités, celles de la Vie en mouvement et en évolution perpétuelle.

Caractéristiques et Propriétés d’une mesure

Il faut considérer 2 types de caractéristiques :
*      Physique : Le fait de mesurer une résistance ou une fréquence fixe sur un point ou un méridien se limite à l’aspect physique d’un organe, d’un tissu ou d’une fonction. Cette mesure ne prend en compte que ce qui se passe dans le corps physique dense, et cette mesure si elle est fixe, constante et reproductible serait le fait d’un corps qui n’évoluerait pas.
*      Ondulatoire : Une mesure est également dotée de caractéristiques ondulatoires sous forme d’informations immatérielles provenant de la synthèse de tous les systèmes de communication et des mémoires résultant des expériences de vie du patient dans ces systèmes. Cette partie est en évolution permanente.
Pour ouvrir le champ à une interprétation des informations émotionnelles et mentales du patient, il faut accéder à une mesure dite de résistivité ,qui n’est possible que par une technologie qui prend en compte les alternances vibratoires des énergies en mouvement dans un système relationnel de biofeedback. Ce système accepte les positions aléatoires des photons ou des électrons qui composent l’information vivante de l’esprit du patient, même des années après un événement.

Nous avons tous les mêmes organes, nous sommes tous créés à l’image du même modèle corporel, mais les mémoires émotionnelles, mentales et spirituelles vécues par nos organes, notre Moi et notre corps font de nous des êtres uniques vibrant de façon changeante à chaque instant de nos vies. 
Le moment présent ne peut pas avoir un caractère fixe.

C’est en m’adressant aux thérapeutes qui exercent leur art avec une vision énergétique du corps et de l’esprit, que j'ai depuis longtemps fait le choix volontaire des appareils de mesure dont la technologie accepte la non reproductibilité des mesures.
Cette non reproductibilité est interprétable grâce à un logiciel Phôs ® spécifiquement développé pour permettre à l’énergéticien de prendre en compte dans la mesure, l’aspect Quantique ondulatoire de la maladie de son patient à un instant donné.

Les clés

La mesure est réalisée à un instant T, dans lequel la totalité de l’information d’une fonction du patient va dépendre de ce que le patient vient offrir au thérapeute pour qu’il puisse le guérir. 
Le patient dans ce qu’il est en corps, en âme et en esprit va donc  livrer, ou non, les clés au thérapeute, qui peut alors  les lire, ou non, savoir les utiliser, ou nonà ce moment précis. Avant, ce n’est pas l’heure, car c’est une autre mesure, après, c’est trop tard car c’est encore une autre mesure. Telle est la variabilité de notre nature humaine.

N’oublions jamais

C’est le patient qui est mesuré et non le thérapeute.
C’est le patient qui est lu et interprété et non le thérapeute.
L’état d’esprit du patient change les mesures au moment où elles sont prises.
L’état d’esprit du thérapeute ne change pas les mesures du patient. Nos corps et nos esprits possèdent fort heureusement par nature un caractère de séparabilité.
Les mesures prises par le thérapeute n’interfèrent donc pas sur les mesures du patient, sinon celui-ci serait amélioré ou guéri instantanément avant même d’avoir fait quoi que ce soit, et nous n’aurions pas besoin alors d’instrument.

Prise des mesures avec un outil qui corrige les erreurs du débutant
La sonde de l’appareil Omégalux possède l’avantage de sa très grande sensibilité. Elle permet de gérer le résultat diagnostic avec la même précision, quelle que soit l’allure de la courbe. Un débutant qui n’aura pas encore affiné le geste parfait de la prise de mesure verra ses défauts sur une courbe en général très accentuée en déviations. Le résultat final par le calcul diagnostic prendra en compte les écarts  par rapport à des mesures sur ou sous dimensionnées. Le tableau de diagnostic affichera les mêmes structures indiquant les mêmes causes de la maladie.

 
ANNEXES


1.      La théorie des champs Morphiques
Elle est proposée par un éminent biologiste Rupert Sheldrake dans les année 1980 sous le concept de la « Causalité formative ».
Ni la physique, ni la chimie ne sont capables d’expliquer la Vie, dit-il .
Il propose alors une nouvelle biologie, qui naît de la causalité formative et qui repose sur l’étude des « Champs Morphogénétiques » ayant des effets mesurables.
A cette époque, ses conclusions sont pratiquement superposables aux effets mesurés par les radioniciens. Voici quelques-unes de ses conclusions.
-Il y a un « Soi causal », au delà du visible.
-Dans ce plan, on trouve une hiérarchie d’actions créatives immanentes à la Nature.
-Ce Soi conscient émane de la même réalité que celle d’une source Transcendante de l’univers.
-Le champ morphégénétique de toute chose existe déjà avant d’apparaître dans la Matière. L’anatomiste Saxton Burr dans les années 1935 était arrivé à la même conclusion en travaillant sur des œufs de salamandre. Cette étude lui avait permis d’affirmer que les Champs de Vie (L-Fields) des organismes vivants existent avant leur naissance et persistent après la mort. Nous devons d’ailleurs noter la similitude entre les Champs de vie (L-Fields) de Burr et les Champs Morphogénétiques de Shaldrake.
-La Morphogénèse est donc bien organisée par des Champs. Ces champs semblent  être éternels puisqu'ils précèdent la vie et succèdent à la mort.. Cela nous renvoie aux Eons éternels de Jean Charon.
-Les Champs Morphogénétiques sont une réalité, tout comme les champs électromagnétiques ou les champs de gravitation.
-Le fonctionnement et l’influence des champs est basé sur la Résonance Morphique, laquelle se fonde sur la loi de Similitude.
-Le phénomène de Résonance et de Similitude observé dans l’étude biologique des Champs Morphiques par Ruppert Scheldracke met en évidence, et c’est une loi générale, que la Résonance n’est possible qu’entre deux systèmes en vibration.
-Lors d’une Résonance Morphique, il n’y a aucune dépense ni aucun transfert d’énergie.
-Il se crée une Résonance entre deux systèmes vibrant de façon semblable.
-La Similitude permet la résonance (c’est sur cette réalité que se fonde l’homéopathie).
-L’échange ou le transfert d’énergie, non énergétique signe ce que l’on peut nommer une « Information », ou un «Champ informatif » .
-le champ dans le domaine Morphique représente des Formes ou des « idées immatérielles ». Ces Formes, explique Scheldracke, peuvent être perçues comme essentiellement mathématiques.
-Les Champ Morphiques ont des propriétés Géométriques (les 8 directions de l’espace).
-Retenons également que l’Espace n’est pas un obstacle au transfert d’information de type Champ Morphique ou Champ de Forme (la radionique l’a bien sûr démontré).
-Les Champs Morphiques représentent donc une « région d’influence immatérielle » sur le milieu de laquelle une action s’établit à distance et à travers les objets qui s’affectent eux-mêmes sans contact matériel.
-Temps et Espace n’atteignent donc pas la résonance Morphique, car Scheldracke démontre que l’influence Morphique des systèmes antérieurs est présente partout.
( Ruth Drown a écrit : »Tout ce que vous voulez savoir est présent là où vous êtes »). Jean Charon aurait sans doute pu dire : les électrons sont partout et éternels. Ils possèdent l’information que l’on cherche.
-L’influence Morphique est Cumulative.
Ainsi, plus l’information se renouvèle, plus elle est forte.
Le Modèle Morpho-Quantique entre totalement dans le cadre des conclusions de Sheldrake. En effet, comme nous le verrons, le MMQ (Modèle Morpho-Quantique ®) s’exprime par un pictogramme représentant une figure de points noirs ou colorés, déterminée par une fonction mathématique. 
La pratique de ces modèles pictographiques montre que le MMQ est d’autant plus puissant qu’il est construit de l’addition de plusieurs pictogrammes.
Il y a indéniablement un effet cumulatif.
D’autre part, le pictogramme peut être transféré n’importe où, à n’importe quelle distance où se trouve le patient.
L’information du pictogramme MMQ  possède bien des propriétés géométriques. 
C’est d’ailleurs l’un des premiers fondements théoriques du Modèle Morpho-Quantique aussi bien que des Champs Morpho-Génétiques.
La puissance de l’information va dépendre de la similitude du cas traité et de son orientation dans l’espace par rapport à l’axe du champ magnétique de la Terre.

2. Le feedback bioélectronique

Le Modèle Morpho-Quantique, comme toute méthode de soins énergétiques, s’inscrit dans une compréhension globale de la vie. Il faut donc utiliser un système de diagnostic capable de traiter par émission de signaux, une demande globale, et de recevoir en retour une réponse globale[1] de l’organisme.
Ainsi, l’information simulée, émise au travers des points cutanés des méridiens et des vaisseaux, possède-t-elle  une double sollicitation énergétique :
- une tension[2] de nature électromagnétique de très faible ampérage, et cette tension va agir comme onde porteuse d’une information pictographique.
-une onde de Forme Morpho-Quantique à caractère pictographique que l’organisme biologique va recevoir, analyser, et celui-ci va élaborer une réponse en retour.
Le MMQ permet ainsi d’objectiver tous les types d’informations pouvant analyser et servir à notre système énergétique et biologique, sans qu’aucune nuisance ne soit créée pour le patient.
L’instrumentation Morpho-Quantique permet de faire un véritable scan énergétique d’origine morphique sur des fonctions de méridiens déréglées.
Le scan opère chez le patient des demandes totalement inhabituelles, car le cerveau n’a pas l’habitude de revoir et d’analyser des pictogrammes lumineux.
Recevant en effet des signaux sous forme de pictogrammes, le patient répond instantanément par une correction de la mesure.
Qu’est ce qui induit cette réponse rétroactive chez le patient ? 
Sans doute l’organisation fractale où l’information à base de signaux est en résonance et en déplacement.
Cependant, sur le plan biologique, c’est la partie inconsciente qui répond au travers de tout le réseau nerveux sympathique et parasympathique.
Le point de jonction où se rencontrent les informations « Aller » et les informations « Retour » du biofeedback, est représenté par les glandes Parathyroïdes.
L’équivalent dans le plan de l’anatomie subtile de cette glande porte le nom de chakra occipital ou centre Alta-Mayor.

Ces deux fonctions distributrices des informations biofeedback sont entrecroisées et disséminées dans tout le corps et leur porte d’entrée énergétique débouche sur les fonctions du Maître du Cœur (Parasympathique) et du Trois Réchauffeur (Sympathique), un monde immense à l’intérieur du corps.
Le système du feedback, c’est donc la  rétroaction ou réponse biologique à un signal.
Cela évoque un retour dans le passé, c’est-a-dire une action qui agit en retour sur le phénomène qui se trouve à sa source.
La rétroaction implique un système global psychophysiologique.
Donc, toute l’instrumentation qui permet la pratique Morpho-Quantique utilisant des signaux codés sous forme de pictogrammes Morphiques, qui sont transmis au travers de la sonde de mesure pendant le scan Morpho-Quantique, opère dans un champ global du corps et de l’esprit. 
L’instrument et le thérapeute ne font qu’un, et les mesures enregistrées tiennent comptent à la fois de l’aspect corpusculaire de la matière-énergie et de son aspect ondulatoire immatériel dite Quantique.
C’est la réponse dite de « Rétroaction psychophysiologique de l’organisme » ou « Biofeedback », qui est de nature ondulatoire qui fait de cette technique un système sensible au captage d’informations de nature Quantique.

On peut schématiser dans le Modèle du concept Morpho-Quantique, l’unité biofeedback totale du corps par le schéma suivant :


  
Les glandes Parathyroïdes, expression physique du Chakra occipital
sont le moyeu central de toute l’activité énergétique et de toutes les
fonctions du corps du physique, de l’émotionnel , du mental et du spirituel

VB : Vésicule Biliaire
Es   :  Estomac
Fo   :  Foie
GI   :  Gros Intestin
Spl  :  Spleen (chakra de la Rate) ou chakra Splénique
Po   :  Poumon
Ba   :  Basal (chakra de la Base)
RT   : Rein (Traditionnel) le Rein chinois
Sa    :  Sacral (chakra Sacré)
MC  : Maître du Cœur ou Péricarde
RP  :  Rate-Pancréas
Co  :  Cœur
Cor :  Coronal (chakra de la Couronne)
IG   :  Intestin Grêle
Fro  :  Frontal (chakra Frontal) ou Ajna chakra
Ve   :  Vessie
Lar  :   Laryngé (chakra de la Gorge) ou chakra Laryngé
TR   :  Triple Réchauffeur
AM :   Alta Major ou chakra Occipital


[1]  Globale voulant dire « qui comprend ou contient toutes les informations mémorisées contenues à l’intérieur de la cellule » et ces informations peuvent concerner tous les plans d’existence conscients et inconscients du sujet.
[2]  appelée originellement « Tens » (Transcutaneous Electro Nerval Stimulation)